Le troisième jour s’appelait le « Paradis », la lavandière chargeait son linge sur son dos, car peu d’entre elles pouvaient s’offrir une brouettte, elle prenait sa caisse à laver avec avec sa planche à laver, sa brosse, son battoir, son savon, son courage à deux mains, et elle se rendait au lavoir.

Sachant que ces dames devaient s’occuper des enfants, faire les courses, la cuisine, le ménage, ramasser le bois pour le feu et aider au champs, je ne peux qu’éprouver la plus vive admiration.