
Un vendredi ensoleillé
Que la deuxième partie du festival… commence !
Le vendredi du Paléo Festival Nyon 2024 a enflammé la Plaine de l’Asse avec une programmation éclectique mêlant stars internationales et talents émergents. Entre performances électrisantes, ambiance survoltée et découvertes musicales, cette journée a offert aux festivaliers une expérience inoubliable au cœur de l’un des plus grands festivals d’Europe.



Julien Granel : un plein de couleur pour débuter
Julien Granel a illuminé le Paléo Festival avec un show explosif et coloré, transportant le public dans son univers festif et décalé. Entre pop solaire, rythmes électro et mélodies entraînantes, l’artiste a enchaîné les titres avec une énergie débordante.

Son interaction joyeuse avec le public et sa mise en scène vibrante ont transformé son concert en une véritable fête. Dans une ambiance euphorique, les festivaliers ont dansé et chanté à l’unisson, portés par son charisme communicatif. Une performance inoubliable qui a confirmé son talent pour créer des instants magiques sur scène.



Slimka enflamme la maison
Slimka a embrasé le Paléo Festival avec une performance survoltée, confirmant son statut de figure montante du rap suisse. Dès son entrée sur scène, son énergie communicative et son flow tranchant ont électrisé la foule.



Porté par des beats percutants et une présence scénique magnétique, il a enchaîné ses titres phares, créant une connexion intense avec le public. Entre mosh pits endiablés et refrains scandés à l’unisson, Slimka a livré un show explosif, prouvant qu’il sait enflammer n’importe quelle scène. Une prestation mémorable qui restera gravée dans les esprits des festivaliers.
IAM, en légendes

Le légendaire groupe IAM a réveillé le Paléo Festival avec un show puissant et intemporel. Portés par des classiques comme “Petit frère” et “L’Empire du côté obscur“, les Marseillais ont captivé une foule conquise. Leur flow précis, leur message engagé et leur énergie scénique ont offert un moment mythique, prouvant que leur héritage dans le rap français reste intact. Un concert mémorable, chargé de nostalgie et de puissance.
Gazo et Tiakola, le duo implacable
Gazo et Tiakola ont retourné la scène du Paléo Festival avec une performance explosive, mêlant drill sombre et mélodies entêtantes.

Gazo, maître de l’ambiance, a imposé son flow percutant et sa présence charismatique, tandis que Tiakola, dit “La Melo” a apporté sa touche mélodieuse, faisant chanter la foule sur ses refrains envoûtants. Le duo a enchaîné les hits, créant une osmose parfaite avec un public survolté. Entre vibes entraînantes et énergie brute, leur show a confirmé leur statut incontournable sur la scène urbaine. Une prestation intense, marquée par une communion puissante avec les festivaliers, qui restera gravée dans les mémoires.



ZIAK, la drill au bout de la nuit
Ziak a fait trembler la nuit du Paléo Festival avec un show sombre et intense, plongeant le public dans l’univers brut de la drill française.

Masqué et mystérieux, il a imposé son style unique, enchaînant ses titres percutants avec une énergie implacable. La foule, captivée par son flow tranchant et ses instrus menaçantes, a répondu avec ferveur, créant une atmosphère électrique. Entre jeux de lumières et basses profondes, l’ambiance était à son paroxysme, transformant la scène en un véritable temple de la drill. Une performance magistrale qui a marqué les esprits et secoué la nuit du festival.



Une soirée mémorable avant le week-end
Alors que la nuit tombait sur la Plaine de l’Asse, la magie du Paléo Festival 2024 continuait d’opérer. Du rap percutant de Ziak aux rythmes envoûtants de The Blaze, en passant par l’énergie débordante de Slimka et Julien Granel, cette journée du vendredi a offert un condensé d’émotions et de performances mémorables. Les festivaliers, fatigués mais conquis, ont quitté le site avec des étoiles plein les yeux, impatients de vivre la suite du festival. Entre découvertes musicales et moments de communion intense, cette édition a prouvé une fois de plus pourquoi le Paléo reste une référence incontournable.
Photographe : Florian Ruspini
Journaliste : Florian Ruspini
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