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Luxembourg Fashion Week : un défilé ultra-prisé, 252 invités triés sur le volet… une révélation signée Natalija Lalic Jovanovic

La mode s’est invitée au cœur de Luxembourg et, le temps d’une soirée, la capitale a vibré comme une grande métropole couture. Le grand défilé de la Luxembourg Fashion Week a réuni 252 personnalités du milieu — créateurs, mannequins, journalistes, photographes, acheteurs, entrepreneurs, décideurs culturels — bref, ceux qui font la mode au Luxembourg. C’était le rendez-vous où il fallait être si l’on appartient à l’écosystème : un événement confidentiel, ciblé, industry only. On n’y venait pas en simple curieux : on y était parce qu’on en fait partie.

Info-Lux, partenaire privilégié de la soirée

Info-Lux a eu l’honneur d’être partenaire privilégié de ce grand rendez-vous. Sur place, notre équipe a assuré une couverture au plus près du podium : interviews express, détails couture, portraits de créateurs et ambiance de salle. Ce partenariat nous a permis d’offrir à la communauté une lecture sensible et exigeante de la soirée — les regards, les gestes, les textures, et ces instants suspendus qui racontent mieux que n’importe quel discours la vivacité de la scène mode au Luxembourg.

Dans cette atmosphère élite mais chaleureuse, une image s’est naturellement imposée : le prince Gabriel, fils du prince Louis, a fait sensation sur le podium, posant pour Human Highness, la maison de Tessy Antony-de Nassau. Un instant rare, élégant, lumineux, qui a donné le ton d’une soirée où la mode fut à la fois histoire, émotion et manifeste.


Une atmosphère de salon privé : regards complices & standing ovations mesurées

Tout s’est joué dans les regards. Les regards complices entre créateurs et mannequins. Les regards suspendus du public lors des passages silencieux, où seul le froissement d’une soie semblait respirer. Une salle tenue, aux applaudissements maîtrisés, plus “studio” que “stadium” : ici, on observe, on note, on échange. Les 252 présents n’étaient pas un public : ils formaient un collège, presque un jury invisible, la communauté mode du Luxembourg, rassemblée pour voir, juger, soutenir, transmettre.

Le photowall a tourné à plein régime, mais sans tapage. Presse et content creators ont travaillé au cordeau : cadrages serrés, détails couture, matières, accessoires. Les mannequins — certains locaux, d’autres internationaux — ont élevé le podium : marches assumées, poses nettes, transitions fluides. On sentait la main des équipes côté coulisses : retouches millimétrées, boucles de repassage, petits rituels pour dompter l’adrénaline. Bref, une loge vivante, bourdon d’aiguilles et murmures, une ruche avant l’envol.


Focus absolu : Natalija Lalic Jovanovic (Petit Atelier de Nathalie)

La révélation de la soirée ? Natalija Lalic Jovanovic. Et ce n’est pas « juste » une présence sur un podium… C’est une révélation. Créatrice monténégrine installée en France depuis 2013, elle est spécialiste des robes de mariée et de soirée, sur-mesure, hyper féminines, sensuelles, glamour chicsoie, dentelle et cuir travaillés avec plus de 30 ans d’expérience.

Chaque pas, chaque geste → une intensité rare, comme si la scène devenait l’extension naturelle de son énergie.
Elle n’interprète pas une robe… Elle la fait vivre. Dans ce dialogue entre tissu & mouvement naît une poésie.
Ce qui frappe ? Sa féminité assumée : libre, affirmée, lumineuse.
Raffinement et puissance. Mouvement et délicatesse. Contrastés, mais unis dans la silhouette.
La mode, pour elle, n’est pas un vêtement. C’est un manifeste. Un message de liberté, un souffle qui reste.

Sur scène, les soies semblaient respirer. Les dentelles se posaient en seconde peau, dessinant des lignes claires sans jamais contraindre. Les touches de cuirjuste ce qu’il faut — donnaient échine et attitude. La promesse de Natalija ? Rendre le sur-mesure lisible à l’œil nu : on devine la cliente derrière la robe, son tempérament, sa joie. C’est rare. C’est fort. C’est la quintessence de l’esprit « Feel » : ressentir, habiter, devenir.


Les créateurs — 8 langages, une même exigence

Human Highness – Noble par caractère. Féminine par design.

Avec Human Highness, Tessy Antony-de Nassau a livré un récit intime et puissant : inspiration militaire, coupe armurée, noblesse de tenue, force tranquille. Le passage du prince Gabriel a ajouté une strate d’émotion : la couture comme histoire et héritage, réinterprétés au présent.

« Human Highness – tailleurs d’inspiration militaire, power dressing réinventé ».


Karim Meguellati – Le sur-mesure comme art de vivre

Installé au Grand-Duché, Karim Meguellati signe des pièces sur-mesure en matières nobles, entre romantisme et raffinement, avec une vision globale de l’image (vêtements, accessoires, mise en beauté). Féminité forte, élégance intemporelle, coupe qui sculpte : l’esthétique grand soir qui dure.

Focus+Natalija Lalic Jovanovic / Petit Atelier de Nathalie

Egle Ozyte – Romantisme baroque & force tranquille

« Egle Ozyte – “Bella Vita”, romantisme baroque et matières recyclées ».
« Egle Ozyte – “Bella Vita”, romantisme baroque et matières recyclées ».

Basée au Luxembourg, Egle Ozyte marie élégance, sensualité et force. Elle intègre des tissus recyclés sans renoncer au festif. Sa « Bella Vita » célèbre la beauté de la vie : formes féminines, délicatesse, résilience, touche baroque.

Altagia – La haute stature célébrée

Altagia crée pour les femmes grandes : proportions justes, coupes raffinées, matières luxueuses. C’est une mission autant qu’une marque : célébrer la taille comme beauté, force, sophistication, offrir visibilité et assurance au quotidien.

Minh NGNs (Minh-Anh Nguyen) – L’excentricité maîtrisée

Créatrice gréco-franco-vietnamienne, Minh-Anh mixe mémoire, pop culture et techniques d’art textile (broderie de Lunéville, peinture textile, crochet). Sa marque Minh NGNs raconte la silhouette : histoire du costume, détails manga, motifs floraux/rayés, gaieté assumée.

À shooter : détails brodés, accessoires crochet, contrastes couleur.
ALT : « Minh NGNs – hybridations manga & costume, broderie et peinture textile ».

AYDOGAN – Brutalisme poétique, lignes architecturées

Fondée à Metz, AYDOGAN (duo Solenne Giuliani + Yasin Aydogan) pose une signature brutaliste : minimalisme, géométries, rigueur architecturale, équilibre force/finesse, avec un dialogue transdisciplinaire (architecture, musique, photo, design). Vision durable et hors tendances.

À shooter : angles vifs, textures mates, lumière rasante.
ALT : « AYDOGAN – lignes brutalistes, élégance contemporaine ».

Yanis Miltgen & Maxim – “Les demoiselles” : art total

Yanis Miltgen, artiste textile & brodeur d’art luxembourgeois, et Maxim, artiste capillaire, transforment cheveux & textile en un même récit. “Les demoiselles” (6 looks) revisitent Versailles : chaque silhouette, une nymphe (le savoir, le temps, le son, l’amour, l’hiver, l’individualité), entre broderie d’art, maille, art capillairel’art total, de la tête aux ourlets.


Une salle, 252 faiseurs de mode : pourquoi c’est important

Le chiffre importe : 252. Ce n’est pas un total « grand public ». C’est une masse critique de décideurs et de talents. S’asseoir là, ce soir-là, c’était appartenir à l’écosystème et participer à l’écriture d’une scène luxembourgeoise assumée. La Luxembourg Fashion Week ne se contente pas de montrer : elle structure, fédère, rayonnecréateurs, hôtellerie, tourisme, culture y gagnent en visibilité, pays compris.


Le moment princier, symbole d’un récit plus large

L’apparition du prince Gabriel n’a pas été un simple happening. C’était un signe : la mode au Luxembourg touche aux familles, aux parcours, à la transmission. Et chez Human Highness, tout s’inscrit exactement là : force et grâce, confiance blindée et féminité célébrée, pouvoir et couture réunis dans un même phrasé, sans emphase, avec précision. Image mémorable : un podium d’une sobriété royale, une silhouette qui s’avance, et une salle entière qui écoute.


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C’était un défilé-clef, une photographie nette de la mode au Luxembourg en 252 personnes. Un public d’initiés, des propositions hautes et assumées, un moment princier devenu icône, et une révélation : Natalija Lalic Jovanovic, dont la féminité lumineuse et la poésie du geste ont mis tout le monde d’accord. Info-Lux, en tant que partenaire privilégié, est fier d’avoir raconté cette soirée au plus près de celles et ceux qui la font. Luxembourg n’imite pas : il écrit sa propre partition, sans bruit inutile, avec des signatures qui comptent. On a senti, on a vu, on a compris : la scène existe — et elle avance.

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